Les formalités accomplies, permis de trek et TIMS, notre guesthouse, Friendly Home, nous réserve notre bus et le lendemain réveil matinal pour être à l’ arrêt de bus à 6h30 avec un départ à 7h. Ce sont des bus « touristiques » qui sont beaucoup plus confortables. C’est parti pour 4h de bus jusqu’au village de Dumré. Durant le trajet, nous rencontrons un Indonésien qui nous a donné son adresse mail afin qu’il nous communique les bons plans pour le mois de décembre ! A Dumré, on change et on revient aux bus locaux beaucoup de monde (problème d’essence), une chaleur étouffante et une chèvre en option sur le toit
Ce fût la première arnaque dont on a été « victime ». Il nous demande de payer avant de partir une somme importante pour ce type de bus, mais bien loin de nous ruiner quand même. Bête, on paye et au final, on se rend compte par la suite que l’on a payé 5 fois le prix. C’est pas bien grave, nous sommes bien arrivés à destination de Besi Shahar mais nous lui avons bien fait comprendre notre pensée !
Arrivant à une heure un peu tardive, nous prenons le premier hôtel pour passer la nuit.
Le lendemain, c’est parti pour notre trek : le Tour des Annapurnas avec nos sacs, nos jambes, notre mental et notre carte.
Jour 1 : Besi Shahar 760 m – Bhulbhule 840 m – Nadi Bazar 930 m : 13 km, 5h
A peine partis, il faut être à l’autre bout du monde, pour tomber nez à nez avec le tricycle que l’on recherchait pour le vélo fleuri !!
La première étape, donc, avec des paysages magnifiques, la traversée de villages, de rizières, des enfants qui jouent dans l’eau… Un jeune homme nous suit en portant des tiges métalliques pour les fondations de sa future maison. On l’aide à porter cette charge sur une partie du chemin et en contre partie, il nous coupe des bâtons en bambou pour rythmer notre marche et que nous garderons jusqu’à la fin.
A l’entrée de Nadi Bazar, nous posons nos sacs dans un petit coin de paradis. Fait de planches et de tôles, notre lodge est vraiment magnifique avec des fleurs, des hôtes souriants et une nourriture irréprochable. Nous recommandons fortement : HOLIDAY TREKKER’S si vous souhaitez faire ce trek !
Autour de la table, c’est ici aussi que nous échangeons nos premiers mots avec Esther, Anne Marie et Suzanne, une famille Suisse en vacances au Népal. Par la suite nous dînons dehors sous un abri en bambou avec au menu les momos comme spécialité du pays. Il s’agit de petites portions de pâtes, frites ou cuites à la vapeur , fourrées de légumes, de poulet ou de pomme de terre (Je vous laisse imaginer lesquels a pris Romain !)
Jour 2 : Nadi Bazar 930 m – Bahundanda 1310 m – Ghermu 1130 m – Syange 1100 m – Jagat 1300 m : 12 km, 7h
Après un bon petit déjeuner de trekkeur : 2 œufs, des patates, un pain Tibétain, un jus de fruit et un thé, c’est parti pour une bonne journée ensoleillée.
Au départ, nous suivons la route et apercevons la construction d’un barrage électrique puis en grimpant dans les hauteurs, nous traversons de magnifiques villages avec la production de maïs, de riz et de pommes de terre…
A la base, nous devions nous arrêter à Ghermu mais comme il était assez tôt, nous avons poussé jusqu’à Jagat. Nous avons été optimistes car cette dernière portion était difficile en plein soleil. Cela nous a fait gagner une journée et nous avons retrouvé le soir nos amies Suisses.
Jour 3 : Jagat 1300 m – Tal 1700 m – Karte 1850 m – Dharapani 1860 m : 15 km, 7h
On continue notre ascension sur le chemin. On traverse à plusieurs reprises la rivière en empruntant les ponts de singe.
Après avoir fait une pause déjeuner à Tal, nous avons rencontré 3 autres Français : Christophe, Thomas et Christelle que nous allons croiser régulièrement au cours du trajet.
A Dharapani, nous avons trouvé un petit nid douillet pour passer la nuit ; une lodge qui a ouvert il y a 2 ans et tenue par une famille fort sympathique. Elle se situe quasiment à la fin du village en hauteur.
Jour 4 : Dharapani 1860 m – Bagarchhap 2160 m – Timang 2270 m – Koto 2600 m – Chame 2670 m : 16 km, 7h
Nous commençons à apercevoir les hauts sommets et notamment l’Annapurna II et l’Annapurna IV.
Jour 5 : Chame 2670 m – Upper Pisang 3300 m – Lower Pisang 3200 m : 15 km, 6h
Certainement une, voire la plus belle étape du parcours ! Un contraste de paysage saisissant alternant entre forêt, petit village en pierre et des zones plus arides.
Après avoir exploré le village de Upper Pisang, nous redescendons vers Lower Pisang pour passer la nuit et en chemin, je me fais charger par une femelle Yack qui protégeait son petit.
Jour 6 : Lower Pisang 3200 m – Ghyaru 3670 m – Ngawal 3660 m – Mugje 3330 m – Manang 3540 m : 20 km, 9h
C’est la plus longue étape, à peine partis de Lower Pisang, nous apercevons un lac avec une eau turquoise à un endroit. Il s’agit juste d’un contraste entre le sable et la végétation.
Puis c’est parti pour monter à Ghyaru tels les virages de l’Alpes d’Huez (470 m de dénivelé sur une très courte distance). Par contre, une fois arrivés au sommet, c’est un panorama magnifique sur l’Annapurna III.
Nous faisons une pause déjeuner à Ngawal avec les Français, où nous prenons par la suite le chemin le plus court car l’horloge tourne et nous étions loin d’être arrivés à destination.
A Mugje, nous craquons sur des brioches au chocolat (nous n’en n’avions pas mangées depuis notre départ en Août).
Enfin arrivés à Manang, nous nous installons au Yack Hostel qui a bonne réputation tant pour les chambres que pour la nourriture.
Le soir venu, nous craquons pour un burger et pas n’importe lequel : il s’agit du Yack Burger avec des frites (Fritaaaaaas si tu nous suis), un délice.
Lors de la soirée, nous discutons avec les filles car nous voulions aller voir le lac Tilicho mais nous avions un souci. C’est que cela rajoutait 3 jours au trek et nous n’avions pas prévu assez d’argent pour cela car les distributeurs ne courent pas les rues à cette altitude et le prochain est censé être à Jomsom sans être sûr qu’il fonctionne (un conseil pour ceux qui souhaitent entreprendre un trek, prévoyez de retirer plus d’argent au départ que pas assez). A ce moment là, les filles n’ont pas hésité à nous prêter 40 $ pour pouvoir accomplir notre projet. Entre temps, dans la salle, un guide nous écoute et nous propose son aide également en cas de souci. Il s’agit de Balku, le guide de Geneviève et Dany, 2 Canadiens.
Un GRAND MERCI pour leur générosité.
Jour 7 : Manang 3540 m
C’est la journée d’acclimatation où il fait bon se promener dans le village, se reposer. En milieu d’après-midi, nous allons à une réunion pour nous sensibiliser sur le mal des montagnes. Le médecin en profite pour vérifier notre pouls et le taux d’oxygénation. Tout va bien, on est prêt pour l’ascension.
Entre temps, nous nous renseignons pour le lac Tilicho (parmi les lacs les plus hauts du monde) mais nous avons eu plusieurs avis contradictoires sur la sécurité du passage, l’un tout va bien, l’autre c’est assez dangereux avec éboulements de pierres sur le chemin.
Au final, nous décidons de poursuivre jusqu’au col, tant pis pour le lac Tilicho. Et après tout, nous étions contents de poursuivre notre route avec les filles.
Jour 8 : Manang 3540 m – Yak Kharka 4018 m – Ledar 4200 m : 10 km, 5h
Cette étape fût assez courte entourée des géants où au fur et à mesure que nous avancions la végétation se faisait de plus en plus rare. La température était également plus basse.
Jour 9 : Ledar 4200 m – Thorung Phedi 4450 m – High Camp 4925 m : 7 km, 4h
C’est une étape de courte durée mais néanmoins difficile car le dénivelé est important, environ 700 m. Au delà de 4000 m, l’oxygène est beaucoup moins présent, du coup, nous adoptons une marche lente pour éviter l’essoufflement et le mal des montagnes.
Sur cette étape, nous avons fait une pause à Thorong Phedi afin de s’acclimater avant de poursuivre pour le High Camp. On en profite pour prendre une Garlic Soup et un thé, bénéfiques contre le mal d’altitude.
Puis nous montons le chemin en lacets pendant un peu plus d’une heure. Vers la fin de cette ascension, je commençais à avoir de légers maux de tête mais une fois arrivée à destination, cela s’est amplifié avec une sensation de vertiges.
Sur conseil de tous les guides présents, il fallait se mettre au chaud et boire beaucoup d’eau chaude qui permet de dilater les vaisseaux et favoriser l’oxygénation, manger de la Garlic Soup (ail) encore et boire du Ginger Lemon Tea. Nos amies Suisses m’ont également donné un médicament qu’elles avaient eu lors de l’ascension du Kilimandjaro et qui m’a fait du bien.
Cela est rentré dans l’ordre par la suite et nous avons fait une partie de petits cochons tous ensemble : nos amis Suisses et Canadiens (Geneviève et Dany), les 2 guides dont Balku et les 2 porteurs (Lucie, ton jeu va devenir international !)
La neige voltigeait, il faisait froid dans la salle commune, la nuit s’annonçait fraîche et courte car départ prévu à 5h du matin.
Jour 10 : High Camp 4925 m – Thorung La Pass 5416 m – Muktinath 3760 m : 14 km, 9h
Ça y est, c’est le Jour J, l’étape de toutes les “angoisses”, va t-on arriver à franchir les 5416 m de la Pass la plus haute au monde.
Lors du petit déjeuner, n’étant pas rassurée avec les premiers symptômes, nous demandons à Geneviève, Dany et Balku si c’était possible de les suivre.
Et c’est parti en pleine nuit avec de l’eau chaude et la frontale.
C’est pas ma meilleure tête du matin !
Au début, un peu stressée mais cela allait bien, puis au fur et à mesure de la montée, il fallait que je me concentre sur ma respiration avec des pauses aussi. Et comme Romain était frais comme un gardon, il me ravitaillait en eau chaude.
Vers les 9h du matin, nous atteignons le sommet.
On l’a fait !!!!
Un soulagement pour ma part, une explosion de joie pour Romain !
C’est pas tout mais il fallait redescendre 1700 m de dénivelé. Et là, mieux vaut avoir de bons genoux.
Nous retrouvons les filles au Bob Marley Hotel à Muktinath où nous leur offrons l’apéro ainsi qu’à leur guide et leur porteur sur un fond de Buffalo Soldier de Bob Marley…
Jour 11 : Muktinath 3760 m – Jharkot 3550 m – Lupra – Jomsom 2720 m : 19 km, 8h
En partant de Muktinath, nous traversons d’abord le village de Jharkot puis nous montons sur les hauteurs.
Nous croisons en chemin des gamins qui étaient en vacances. Nous ne savons pas d’où ils venaient mais vu le temps de marche que l’on a effectué avant de croiser un autre village, ils devaient marcher depuis un sacré bout de temps (en tongs !) avec le sourire et le cartable à moitié ouvert rempli de pommes.
Forcément après une longue montée, une longue descente nous attend. Nous atteignons Lupra, un petit village en pierre, en passant sur le lit de la rivière où il y a eu une accumulation de sédiments. C’est de toute beauté.
Nous finissons par rejoindre la route mais il fallait activer le pas car en regardant derrière nous, le temps commençait à changer sous peine de se prendre la pluie.
Une longue étape, fatiguante, nous étions contents d’arriver à Jomsom ! Nous avons pu retirer de l’argent et ainsi rendre les 40 $ à Esther. Nous en profitons pour faire une dernière partie de petits cochons le soir avec Esther, Anne Marie et Suzanne, leur guide, leurs porteurs car elles prennent l’avion pour Pokhara le lendemain. D’ailleurs Esther va leur envoyer le jeu par la suite tellement ils ont bien aimé.
Jour 12 : Jomsom 2720 m – Marpha 2670 m – Tukuche 2590 m – Kobang 2560 m – Larjung 2550 m – Kokhethanti 2545 m – Kalopani 2530 m : 23 km, 8h
Nous partons de Jomsom avec l’idée en tête de dormir à Tukuche. Et au final, nous avons fait le double de distance avec une arrivée à Kalopani juste à temps avant la pluie.
La première partie de cette portion est principalement de la route. Nous avons rencontré un producteur de pommes qui nous a invités dans son champ pour en déguster. Au final, on est reparti avec 2/3 kg de plus car il nous a donné au moins 10 pommes !!!
Nous avons dû poursuivre sur la route jusqu’à Larjung car il y a eu un glissement de terrain sur le chemin qui était du coup non accessible. Heureusement qu’une personne avait laissé un message sur une pierre la veille de notre passage.
Le temps était encore incertain, on a hésité à rester à Larjung mais finalement on a poussé pendant un peu plus de 2 heures pour arriver à Kalopani, afin d’avoir un beau point de vue sur les montagnes.
Jour 13 : Kalopani 2530 m – Chhyo – Ghasa 2010 m – Pairathaplo 1940 m – Kopchepani 1620 m – Gadpar 1540 m – Dana 1440 m – Tatopani 1190 m : 20 km, 8h
On a traversé plein de petits villages à flanc de montagnes avec des montées et des descentes abruptes, en somme un profil “casse-pattes”.
A la sortie du petit village de Gadpar, nous rencontrons un homme en train de tresser le bambou pour en faire des “passoires” servant pour la confection de chapati (pain Indien).
Nous arrivons à Tatopani sous la pluie mais nous sommes contents car ici il y a les eaux chaudes (Tato = chaud, Pani = eau en Népalais). Un bon bain pour détendre nos muscles et nous aussi par la même occasion.
A peine installés, on recroise Balku, le guide que l’on a suivi lors de l’ascension de Thorung la Pass et quelques minutes plus tard, nous avons le plaisir de revoir Geneviève et Dany. On casse la croûte et nous voilà parti aux bains.
Jour 14 : Tatopani 1190 m – Beni 830 m – Pokhara
Le trajet Tatopani – Beni est une vraie expérience. A vrai dire, si on pouvait remonter le temps, nous prendrions une jeep, certes plus chère mais avec moins de frayeur.
Pour donner un ordre d’idée, on peut appeler cela « les routes de l’impossible » : un bus bondé, qui penche parfois, trop des fois, qui frôle la falaise ou qui passe à 10 cm du précipice, le copilote qui rajoute quelques cailloux sur la route (c’est arrivé une fois)…
Et quand on voit ce vide, on a l’impression que l’on va tomber au fond… ggggrrrrrr
La deuxième partie était beaucoup plus calme : gros bus comme chez nous, une route à peu près comme chez nous et nous voilà rendus à Pokhara.
Si il y avait quelque chose à refaire, nous prendrions sûrement le bus ou plutôt une jeep de Jomsom à Tatopani pour nous éviter ces 2 longues étapes qui sont franchement moins intéressantes (beaucoup de route, une signalisation moins claire) afin de poursuivre par Ghorepani et le view point de Poon Hill, sinon le reste c’est magique ! C’est sûr nous reviendrons faire un autre trek…
Quelques infos complémentaires pour qui souhaiterait faire la même chose :
– Niveau “sécurité”, tout est bien réglé, il y a différents Check Point où il faut s’enregistrer afin de leur permettre de nous localiser en cas de problème éventuel.
– Pour l’approvisionnement en eau, on en trouve facilement tout au long du trajet mais forcément plus on monte en altitude plus le prix de la bouteille grimpe alors nous nous sommes ravitaillés dans les Safe Drinking Water où l’eau est purifiée et bon marché.
– Si vous ne prenez pas de porteurs ne vous chargez pas inutilement, car on sent les kilos ! Pour ma part j’avais aux environs de 8-9 kg et Romain 12 kg. Grâce à cette faible charge le trek s’est bien passé mais nous avons croisé un autre couple de randonneurs qui avait 15 kg chacun, c’était difficile pour eux.
– Avoir de bonnes chaussures de marche, gorethex de préférence (Romain les a changées juste avant de partir !) et acheter des barres de céréales avant de partir car c’est assez cher en altitude.
Poster un Commentaire
17 Commentaires sur "Le Tour des Annapurnas !"
Superbe Lapince et Amandine ! Le Shark m’a donné l’adresse du blog. Ajouté illico aux favoris de mon navigateur pour désormais vous suivre. Je rattrape mon retard de 130jours là. Génial le Népal !
Continuez comme ça c’est top. La biz
Tu as encore du boulot pour arriver dans le top 5 des plus bavards, mais sait on jamais si tu t’associe avec le shark! Je pense que tu as vu l’article sur le Laos et ma partie de pétanque… plein fer. Bonne année et bon hibernage! Biz
Je suis quand même impressionnée que cette casquette de l’ASM est pu faire le tour des anapurnas sans tomber dans une rivière ! Ensemble avec ferveur ! En tt cas bravo à tes les 2 .
P.S : Amand tu me fais rêver ac ta capuche
Oui on diré une téléteubies! Le jaune de la casquette se blanchit sérieusement, heureseument récemment elle a pris une purée de banane écrasée dans mon sac, du coup je sens la banane !!!
Et maintenant, la Birmanie ???
Message pour Romain : j’ai réussi à refaire une carte sur PAINT.NET sans problème! Baguette magique, pinceau et pot de peinture, j’avais rien noté, mais je me suis souvenue de tout!!!
Grosses bises,
Patricia
Coucou Patricia c’est cela même nous sommes maintenant en Birmanie, c’est un très beau pays ! Bien joué pour Paint, ça sera toi qui me fera un cours la prochaine fois j aurai tout oublier ! Bizes
bravo, c’est bien Amandine d’avoir pu finir. Je pense que si tu avais du redescendre, tu l’aurais regretté, mais la santé avant tout quand même. Roro, même pas peur de partir avec des chaussures neuves ? j’espère que tu avais dormi un peu avec à Aubière pour les « casser » et éviter les ampoules.
bien reçu la carte du Népal
biz MIMI
Coucou mimi, pour les chaussures je les ai acheté la veille du treck !!! Le genre de chose à ne pas faire mais mes baskets me fesaient mal ( merci runing shoes ). J’ai eu du bol pas d’ampoule. Pour Amande, c’est passé grâce à l’eau chaude ( et grâce à la bière pour moi !) Bizoux
Coucou les champions
Super votre trek, bien raconté et de belles photos comme toujours.merci de nous faire vivre cette ascension, on s y croirait. On dirait qu’ amande a perdu ses bonnes joues.bonne continuation et soyez prudents.
Je vous embrasse très fort.
Coucou,
Tu viendra c’est sûr! On a bien rigolé de ton message mais Amande a toujours ses bonnes joues !!!!Gros bizoux et prends soin de toi
Vous avez fait un super trek, les photos sont magnifiques et les commentaires aussi.
Grimper à + de 5000 M chapeau et bravo à vous deux d’avoir pu atteindre le sommet.
Encore merci de nous faire partager cette superbe aventure
Romain tu as du savourer les « patates »
Bisous à vous deux
Oui c’était un sacrė défi et quelle joie d’arriver au sommet c’ėtait superbe d’autant plus que nous avons trés bien manger dans quasiment toutes les lodges et les patates ont fait du bien ! Ils produisent pas mal de féculents et de légumes ici on a suivi un régime végétarien sauf pour le yack burger ( qui a fait du bien!!) Gros bizoux
De magnifiques photos, vous avez du adorer. pas trop dur le passage a plus de 5000 mètres? Quand je suis monté (d’un coup certes) en avion non pressurisé a 5000 mètres d’altitude (pour sauter en parachute) j’avais eu un peu mal à la tête
Bon voyage à vous
Génial cet article! Les photos st magnifiques et vous nous faites rêver… Amandine c était quoi le médoc? Gros bisous
C’est super, vous êtes des héros continuez bien votre aventure extraordinaire et merci beaucoup pour ces belles photos et commentaires. gros bisous de nous tous
Merci Chantal, l’album photo népal sera publié au prochain article bizoux