Quand nous sommes arrivés au Relax Beach Resort à Candidasa, nous avons de très jolis bungalows décorés avec goût : les meubles et menuiseries sont patinés, on adore ce style !

Avec en plus une piscine avec vue sur la mer, que demander de plus.

Nous allons manger vers les 16 heures au resto juste à côté. L’avantage en Asie, c’est que l’on peut manger à toute heure.

Satay Fish avec les French Fries !

On reste tranquille et profitons de la piscine dans un cadre agréable.

Avec un beau coucher de soleil en prime.

Nous louons des motos et nous nous dirigeons en direction de Amed. Sur la route, on s’arrête au temple Tirta Gangga où il y a plein de bassins et de fontaines dont il est possible de se baigner dans certains.

On joue même au jeu de l’oie,

Mais malheureusement, Chantal a perdu en échappant le Guide Vert dans l’eau.

Romain en sauveur au milieu de ses carpes Koi !

Patatra : « Mon livre vert 📗! »

Des nénuphars avec des feuilles énormes.

Un beau parc bien agencé où il est agréable de se promener.

On poursuit notre chemin en apercevant des rizières et les montagnes à l’horizon.

Jusqu’au moment où on se prend la flotte sur la tronche. Nous étions tous trempés. On s’arrête au premier restaurant à Amed où nous mangeons en slip et paréo. On aurait pu remplir une bassine à nous tous !

L’avantage en Asie, c’est que la pluie ne dure pas longtemps et on sèche très rapidement sous cette chaleur. Nous prenons la route touristique en bord de mer pour rejoindre Candidasa.

A Amed, nous voyons les bateaux de pêche sur ces plages de sable noir dû à l’éruption du volcan Agung, il y a quelques années.

Nous passons au milieu des collines dans des villages plus isolés (pas ou peu de touristes devaient passer par ici) où nous voyons une autre face de Bali avec plus de pauvreté.

Un poulailler : élevage sur 3 étages !

Nous avons vu également un atelier de fabrication de vêtements sur des métiers à tisser. Elles étaient vraiment jeunes ; l’une d’elle avait 15 ans et avait commencé sa formation à l’âge de 9 ans.

Il faut 2 semaines pour fabriquer un sarong !

En roulant, Anthony (B.G !) fait même craquer des minettes au bord de la route .

En rentrant sur Candidasa, nous faisons les magasins à la recherche de paréos et de bouddhas. Chacun trouve son bonheur.

Le lendemain après un bon petit déj’, nous partons en direction du Mont Agung. Plus on se rapprochait, plus il était dans les nuages jusqu’au moment où on voulait tourner sur la droite pour poursuivre notre chemin et là, on trouve un checkpoint exclusivement réservé aux touristes. C’est pénible ces droits de passage payants exclusivement pour les étrangers. Qu’à cela ne tienne, filou comme nous sommes, on contourne cet obstacle.

On se retrouve ensuite à l’entrée du temple Pira Besakih dans un sacré bazar. Ils viennent tous pour nous mettre un sarong, on ne sait même pas s’ils vendent des tickets car il n’y a rien de vraiment officiel en apparence et en plus, il fallait un guide pour pouvoir pénétrer à l’intérieur car il s’agit d’un jour de cérémonie (comme toujours !). On réussit tout de même à passer au début de l’enceinte.

Joli temple avec de belles plantes en terrasse !

On retourne en bord de mer pour s’accorder un peu de détente au Lagon Bleu. Juste avant, nous voyons au port des coqs dans leurs cages en bambou. On demande à la personne présente s’ils sont à vendre pour manger. Cela existe pour de grandes occasions mais ils sont en vente principalement pour les combats de coqs. Officiellement, c’est interdit mais il y en a tous les jours où le gagnant peut remporter jusqu’à 2 millions de Roupies Balinaises.

Le lagon bleu, une petite crique isolée où nous faisons du snorkeling.

Forcément, il s’agit du dernier soir avant le départ des Auvergnats alors après un plouf dans la piscine, on s’accorde un bon restaurant tous ensemble : « Le Vincent’s ».

Un cadre très agréable dans le jardin avec cette végétation tropicale et un peu de jazz !

Poisson avec une sauce à la crème et à la moutarde !

Le lendemain, en prenant le petit déj’ avec vue sur la mer, on voit des dauphins qui passent près de la côte. On reste tranquillement aux bungalows, leur laissons des affaires à ramener en France et l’heure sonne, le minivan est là pour les emmener à l’aéroport.

Un moment difficile pour chacun en espérant que vous avez passé un bon séjour à Bali.